La directrice des communications corporatives chez Olymel, Audrey Giboulet, a laissé entendre qu’il n’y avait aucun développement dans le processus de vente jusqu’à maintenant. « Le site est toujours en vente et la direction d’Olymel reste attentive à d’éventuelles pistes. »
« Cette propriété représente une opportunité unique pour les investisseurs d’acquérir un actif stratégiquement situé à proximité des routes 165, 263 et 116, offrant ainsi une connectivité facilitée aux autoroutes 40 et 75. Avec une superficie totale de 112 070 pieds carrés répartis sur un vaste terrain de 964 780 pieds carrés, ce bâtiment a été aménagé de zones réfrigérées et de congélateurs, offrant une infrastructure adaptée et prête à l’emploi pour des industries du secteur alimentaire ou autres », peut-on lire sur le site des courtiers immobiliers Colliers Canada.
Du côté de la Ville de Princeville, l’évaluation municipale fait état d’une valeur de 5,1 millions $ pour le bâtiment et de 257 300 $ pour le terrain. « Considérant que le rôle d’évaluation date de 2020, la valeur municipale ne reflète probablement pas la valeur marchande actuelle du site », a mentionné le directeur général, Dominic Doucet.
Avant que ne soit modifiée sa vocation en mars 2022, l’usine de Princeville avait longtemps servi de lieu d’abattage et de découpe de porcs.
Référence : https://www.lanouvelle.net/infolettre/olymel-demande-8-m-pour-son-ancienne-usine-de-princeville/
